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Top 10 incontournables à découvrir à Gênes : guide complet et conseils pratiques

On a écrit le guide ultra-complet pour visiter Gênes, la ville la plus sous-cotée d’Italie. Et probablement d’Europe.

19 min
Destinations
17 June 2025 à 5h59

La capitale ligurienne se rêve en futur pôle du tourisme responsable — et on lui prédit un succès retentissant.
Sauf que "futur" ne veut pas dire "présent". La preuve : on a écrit le guide ultra-complet pour visiter la ville la plus sous-cotée d’Italie. Et probablement d’Europe.
Au programme :
- Top 10 des incontournables à visiter
- Itinéraire à pied pour en voir un max en 1 jour
- Conseils pratiques pour préparer ton séjour
- Adresses pour déguster la cuisine ligurienne
- Les meilleures escapades autour de Gênes.

On t’a compilé tout ce qu’il faut savoir pour explorer un des joyaux cachés d’Italie.
Mais surtout, pour le faire sans perdre de vue les enjeux qui en dessinent l’avenir.

Top 10 incontournables à Gênes : la liste qui claque direct

Franchement ? Dire que Gênes se limite à un port crado, c’est comme dire que Mario n’a qu’un job de plombier. Oui mais non… Derrière les containers et le Wi-Fi qui lag, la ville aligne des palais Rolli classés UNESCO qui rendent la Via Garibaldi plus hype qu’un feed Pinterest de décorateurs baroques. Ici, même les pigeons ont l’air bling-bling !

« Les palais ne montrent pas leur luxe sur la façade, il faut oser franchir le portail pour piger pourquoi Gênes cache mieux ses trésors qu’un mot de passe Wi-Fi ! » — Andrea, guide local.

Le tableau cheat-code des spots à ne pas rater

Spot Mood Temps recommandé Hashtag Insta
Piazza De Ferrari Fountain selfie 20 min #FountainGoals
Via XX Settembre Shopping arcade 40 min #PorticiPorn
Porto Antico & Aquarium Geek marin 1h30 #AquariumAddict
Palais des Rolli/Garibaldi Renaissance bling 45 min #RolliVibes
Cathédrale San Lorenzo Zebra gothique 25 min #ZebraChurch
Maison Christophe Colomb Branding explorer 15 min #MiniMuseo
Boccadasse Sunset chill 1h #GelatoShot
Ascenseur Bigo Transformers view 30 min #SkylineHack
Palazzo Ducale Culture hype 50 min #Exponerd
Caruggi du centre histo Perte GPS totale 40 min #RuellesLost

Piazza De Ferrari & la fontaine selfie-proof.

Entre deux flux de scooters ululants, la place centrale bombarde avec sa fontaine circulaire (créée en 1936) entourée par le Palazzo Ducale, la Bourse style Art nouveau, et le Teatro Carlo Felice. Tip geek : shoot ton selfie à 9h pétantes pour éviter les cruise-nerds by bus. True story : certains matins, la place sent plus le cappuccino que l’échappement !

Via XX Settembre : shop & archi sous portiques.

Via XX Settembre = un km de tentation pour fans d’archi et accros au shopping. Ses portiques typiques abritent mosaïques stylées et fresques planquées façon level bonus dans Zelda ; au bout, le pont Monumental traverse tout ça avec un air de donjon urbain.

Arcades Art nouveau se reflétant après la pluie sur Via XX Settembre à Gênes

Porto Antico + Aquarium : combo kids & geeks marins.

L’Aquarium de Gênes n’est pas juste un bocal XXL : c’est carrément le deuxième d’Europe (1,2 million visiteurs/an), une sorte de Starfleet HQ version dauphins et méduses ! Hérité de l’Expo ’92, il occupe un pan entier du vieux port rénové.
- Billet adulte ≈28€, file coupe-fil indispensable si tu veux pas rejouer Le Survivant devant les caisses.
- Spoiler alert : l’appli mobile pour tickets + horaires low-crowd (soit dès l’ouverture ou vers 17h) = hack gagnant.
- Teste aussi le billet combo aquarium + ascenseur Bigo si tu veux rentabiliser ton XP touristique !

Palais des Rolli sur via Garibaldi (UNESCO flex)

Longtemps avant Airbnb, les riches génois « rollaient » leurs palais pour héberger VIPs et rois en visite. Les Rolli Days, deux fois par an, ouvrent ces délires en stucs/marbre/fresques au grand public – mais même hors event, pousse une porte pour slow-walk façon héritier paumé.

Cathédrale San Lorenzo : zèbre gothique en marbre

Façade zebra style marbre gris/blanc ultra IG-friendly (coucou hashtag). Spoiler alert : une bombe US balancée pendant WW2 est tombée DANS LA NEF… mais elle n’a jamais explosé. Oui oui, c’est exposé dans une chapelle latérale. Qui dit mieux niveau anecdote WTF ?

Maison de Christophe Colomb : micro-musée branding explorateur

On te vend ça comme LA maison natale du mec qui a découvert l’Amérique (#MarketingGênois). En vrai : modeste reconstitution sur deux étages, visitable en cinq minutes – mais souvenir garantipour fans d’histoire ou collectionneurs de selfies devant plaques commémoratives obscures.

Boccadasse : mini-port carte postale et gelato obligatoire

Pastel vibes dans ce bout du monde urbain où les chats matent la mer depuis les barques échouées. Point food porn : glacier artisanal Grom ou sorbet chez Amedeo pendant le sunset – ici tu shootes ton cornet pistache avec ciel rose orangé. J’ai testé : je n’ai jamais su choisir entre Instagrammer ou manger ma glace avant qu’elle coule…

Ascenseur panoramique Bigo by Renzo Piano : vue 360°

Ce machin signé Renzo Piano ressemble à une grue Transformers hors service ; montes-y toutes les dix minutes (6€ env.) pour voir tout Gênes/port/collines sans te faire d’abdos ni suer ta chemise Uniqlo.

Palazzo Ducale & expos temporaires hype

Centre culturel N°1 ici. Expos récentes ? « Nostalgie – le sentiment moderne », ou encore « Calvino Cantafavole » pour ceux qui lisent autre chose que leur fil Twitter. Même l’escalier a son style boss final.

Caruggi du centre historique : perdre son GPS pour mieux flairer la focaccia

Labyrinthe taille XXL d’étroites ruelles médiévales dites caruggi, où tu perds la barre réseau ET parfois ta dignité devant tant de boutiques vintage collées-serrées (pickpockets friendly…). Mais aussi – bonus olfactif maximal – odeur de focaccia chaude sortant direct du four chaque matin.

Itinéraire à pied en 1 jour : optimiser ton cardio & ton feed Insta

Oublie tout de suite le concept de la « ville plate » façon Monopoly. Gênes, c’est verticalité extrême : ici, chaque quartier se la joue montagne russe pour mollets pressés et abdos cachés sous hoodie. Spoiler alert : le vrai boss final du parcours, ce n’est pas un monument mais l’enchaînement d’ascenseurs urbains, funiculaires et escaliers qui transforment ta balade en mini entraînement HIIT (sans coach ni playlist TikTok). Oui, tu vas râler en montant – mais tes stories seront plus fit que jamais.

Matin : de la gare Brignole à la Piazza della Vittoria

Débarquement à Gare Brignole (aka point de spawn officiel des daytrippers). Direct : cap sur la Piazza della Vittoria, dominée par l’improbable Arco della Vittoria, un arc de triomphe massif dédié aux victimes de la Première Guerre mondiale. Juste devant, la Scalinata delle Caravelle : escalier monumental boosté par trois parterres fleuris qui dessinent les caravelles de Christophe Colomb (littéralement). Ici, selfie obligatoire sur fond d’Arche et de marches XXL – attention aux quadri-touristes qui monopolisent les spots dès 10h !

Scalinata delle Caravelle monumentale à Gênes

Pause déj street-food : focaccia + pesto al banco

Midi sonne = rush vers une adresse culte dans le secteur Piazza Valoria (old school FTW). La vraie focaccia Genovese ? Elle se commande au poids (souvent entre 2€ et 3,50€ les 100 g), version ‘alta’ si tu veux du moelleux, tartinée direct avec un coup de pesto maison – à manger debout au comptoir ou posé sur un muret. Lieux réputés : Antico Forno della Casana ou Focacceria Genovese da Mario.

Focaccia Genovese dorée avec pesto en street-food

- Checklist food porn :
- Demande « alta » pour la version épaisse.
- Payer au poids comme un local (pas au slice)
- Se mange debout version express.
- Toujours avoir une serviette en poche (#OilLife).

Après-midi : palais Rolli & musées express

Changement de mood mais pas de tempo : file vers la Via Garibaldi pour cumuler culture et XP. Les Musei di Strada Nuova Pass te permettent d’enchaîner Palazzo Rosso, Bianco et Tursi pour moins de 10€ (24h) ; timing optimal = 1h max par palais, sauf si tu veux devenir expert fresques/portraits chelous. Astuce geek : prends l’audio-guide multilingue, sinon tu risques juste d’Instagrammer des plafonds sans rien piger…

« Le vrai luxe ici ? Traverser trois siècles d’art ligure sans se faire marcher dessus par un groupe Erasmus déguisé. »

Sunset goal : Spianata Castelletto pour la golden hour

La montée finale – oui encore ! – s’effectue via l’ascenseur Liberty Portello-Castelletto (env. 1€), expérience vintage garantipour. Arrivé à la Spianata Castelletto, mode balcon suspendu à 80 m au-dessus du centre historique : tu shootes les toits d’ardoise + port + mer façon #GenovaJeTaime pendant que le soleil tombe derrière les collines. Anecdote validée IRL : quelqu’un a déjà demandé sa copine en mariage ici… elle a dit non à cause du vent. Voilà voilà !

Golden hour vue panoramique depuis Spianata Castelletto sur Gênes

Quand partir et combien de temps rester ? (Spoiler : évite le 15 août)

Tu penses qu’à Gênes, il fait toujours beau, les mouettes bronzent et l’humidité c’est juste un bug météo ? Non… Welcome dans la vraie vie ligure où le microclimat joue au troll : l’hiver t’offre une brume humide à faire pâlir Silent Hill, l’été te balance du 29 °C moite avec combo moustiques et touristes. Le printemps (surtout mai-juin) et septembre restent LA masterclass pour flâner sans transpirer comme dans un sauna finlandais. Et franchement, octobre parfois c’est jackpot si t’aimes le mood « palais sous la pluie ».

Météo & saisons : brume hivernale vs cagnard estival

La météo à Gênes, c’est un algorithme capricieux. Hiver : 8-12 °C, ambiance humidité WIFI-free style + risotto chaud obligatoire. Été : jusqu’à 28-29 °C (voire 30 en mode bug thermique), soleil qui tape fort mais avec ce petit air marin qui sauve la peau des geeks pas bronzés. Printemps et tout début d’automne : climat idéal pour marcher, explorer les caruggi SANS stresser sur le choix entre t-shirt ou K-Way.

Événements à caler : Fête de Christophe Colomb & Expo ’92 legacy

Le vrai hack culturel ? Caler son séjour sur des events qui changent du « marché local/soirée DJ ringard ». En octobre, autour du 12 octobre, toute la ville flexe pour la Fête de Christophe Colomb — parades historiques, food-trucks thématiques (oui, tu peux croiser des mecs déguisés en caravelle). Le Porto Antico s’anime aussi pendant les concerts d’été, héritage direct de l’Expo ’92 où Gênes a upgradé son port façon Sim City IRL.

Évite la semaine du 15 août : prix doublés et canicule intense.

Durées de séjour : 24 h express vs long week-end XP

Tu veux speedrunner Gênes ? Ok, en 24 heures chrono tu peux cocher quelques must-see (Rolli + Boccadasse + focaccia), mais franchement, autant ouvrir un livre photo chez toi. 48 heures, c’est le sweet spot pour vivre city/histoire/street-food sans rusher. T’as plus de temps (genre 72h ou plus) ? Go pour escapades côte ligure — Nervi ou Camogli — histoire d’exploser ton feed Insta ET ton taux de dolce vita.

Logistique : transports, dodo & survival kit en mode MECE

Bienvenue dans Gênes version SimCity : oublie le chaos méditerranéen, ici on parle d’une ville hackée par la verticalité et un système de transport qui ferait pâlir un urbaniste geek. C’est simple, si tu veux optimiser ton XP voyageur, il te faut comprendre la logique AMT (bus/métro/funiculaires/ascenseurs urbains), booker malin côté dodo et maîtriser le combo city-pass/budget/arnaques. Spoiler: rien n’est plus frustrant que louper un ascenseur de nuit ou se faire ninja par un faux billet de 5€ dans les caruggi…

Arriver : train, avion, ferry — mode multi-modale activé

Tu veux débarquer à Gênes comme un boss ? Option classique : train depuis Milan ou Nice (2h env.), connexion SimCity validée sans prise de tête. L’avion reste jouable depuis Paris (A/R low-cost dès 70-90€, sans bagage évidemment…), mais checke bien les horaires parce que l’aéroport Cristoforo Colombo ferme tôt (vive le décalage à l’italienne). Ferry ? Les adeptes du slow-travel rejoignent la Corse pour moins de 30€ en 9h (Corsica Ferries), cabine avec vue sur containers incluse. Et honnêtement, débarquer au port au lever du soleil = point style max. Bonus : arrivée croisière possible pour les ultra-last minute.

Se déplacer : bus, funiculaires & ascenseurs urbains (level geek)

AMT gère plus de 130 lignes de bus, 1 métro, deux funiculaires et 10 ascenseurs. Hack travel :
- Funiculaire Zecca-Righi : tous les jours 6h40–minuit, départs toutes les 15-20 min., vue panoramique garantie.
- Ascenseurs urbains (Castelletto, Montegalletto…) ouverts jusqu’à minuit ou plus tard selon ligne – ultra pratiques pour esquiver les mollets cramés.
- Métro utile mais limité ; préfère le bus by night en rentrant du Boccadasse tardif.

Cabine art déco filant dans la nuit ligure

Astuce d’auto-proclamé no-life : monte dans l’ascenseur Castelletto by night pour une vibe Gotham City version focaccia.

Où dormir : Molo, Castelletto ou Boccadasse ?

Quartier Ambiance Pourquoi y poser sa valise Limites
Molo Caruggi vintage Central + food spots + ruelles mythiques Peut être bruyant
Castelletto Panoramique chill Vue sur tout Gênes + calme Moins central le soir
Boccadasse Village in the city Plage urbaine + sunset + gelato Distant du centre

Perso ? Le Molo c’est l’assurance de ne jamais rater une sortie impromptue… ni une odeur suspecte au détour d’un caruggio.

Budget & tips : City-pass et hacks anti-fail

  • Genova City Pass dès 24 € /24h = transports AMT inclus + accès à plusieurs attractions au choix (musées/aquarium/lumino).
  • Bouffe street-food : focaccia/pesto/panini entre 3 et 8 €. Restau assis : plat principal autour de 12–18 €. Spritz en terrasse : variable comme mon humeur, comptez minimum 4–5 €.
  • Billets AMT unitaires ≈1,50 €, pass journée ≈4,50 €. Hack ultime : acheter la carte dans un tabac officiel pour éviter la queue des touristes perdus.
Attention aux faux billets de 5 € dans les vicoli, vérifie la bande holographique.

Sécurité & arnaques ?

Oui mais non… Gênes est safe si tu n’exposes pas ton sac banane vintage débordant d’euros devant tout le monde. Les pickpockets visent surtout les ultra-distraits et ceux qui fixent Google Maps plus qu’ils ne regardent devant eux. Règle simple : portefeuille devant/toile sac fermée—et pas besoin de paranoïer façon Escape Room… Sauf si tu adores donner tes AirPods à des inconnus.

Gastronomie ligurienne : 7 spécialités à tester avant la sieste

On ne va pas se mentir : venir à Gênes sans activer le mode food porn est un fail aussi gros qu’oublier son chargeur. Haters diront « juste de la focaccia », les vrais savent que la gastronomie ligure envoie du pâté (de la mer). Entre street-food, pâtes twistées et desserts glacés, chaque bouchée dégaine l’accent tonique local. Spoiler alert: le pesto genovese n’est pas une sauce, c’est un statement gustatif qui mérite son NFT.


Focaccia nature ou au fromage di Recco

La focaccia génoise n’a rien à voir avec le machin sec vendu sous cellophane au Franprix. Ici, c’est crousti-moelleux : surface dorée, huile d’olive extra-virgin qui dégouline sur les doigts (et parfois sur la chemise). Adresse culte : Antico Forno della Casana – certains locaux y passent plus de temps qu’au boulot. Variante geek : la focaccia di Recco, farcie d’un fromage fondant façon cheat code calorique. Pro tip : il faut tester les deux, sinon c’est ban Insta direct.

Pesto genovese sur trofie al dente

Le vrai pesto alla genovese se pilonne dans un mortier en marbre : basilic DOP (pas celui flétri du coin), ail, pignons de pin, parmesan et huile d’olive. Si tu vois un blender ? Red flag. Les puristes jurent que seules les pâtes courtes type trofie absorbent correctement cette bombe verte.

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ pour pesto – épingle gustative obligatoire.

Frisceu : beignets qui sentent la mer

Crunchy game validé ! Les frisceu sont des petits beignets frits à base de pâte fermentée — version OG aux herbes ou upgrade morue (baccalà). Tu croques, ça croustille puis ça fond… Note pour foodies hardcore : servis brûlants à l’apéro, ils partent plus vite que des PS5 en promo.

Farinata : crêpe pois chiche – gluten free friendly

Gluten-phobes et flexitariens peuvent souffler. La farinata est LA galette street-food sans gluten officialisée par 2000 ans d’histoire locale. Recette : farine de pois chiche + flotte + huile d’olive + sel. Servie tranchée pour moins de 3 € dans toutes les ruelles dignes de ce nom.

Trofie & pansotti : pâtes locales qui twistent

Battle local : les trofie s’enrobent de pesto jusqu’à saturation ; les pansotti, raviolis dodus farcis herbes sauvages, s’offrent une sauce aux noix bien crémeuse (oui, ça cale sévère). Anecdote labo : la sauce aux noix date officiellement… d’un article de journal en 1961 (!).

Glaces Grom & autres gelaterie craft

Stopper tout ! Le temple Grom (Via S. Lorenzo 83r) impose ses boules givrées dès 2,80€ ; hack ultime : bourrer ta cup jusqu’au débordement (le refill existe vraiment, ask for it!). Garniture amande-pistache = combo validé par tous les touristes français jamais repassés chez Amorino après ça.

Vins & aperitivo : vermentino, spritz au basilic

Pause détox = apéro local only : le vermentino ligure vient twister tes papilles avec ses arômes minéraux ultra-fresh (Colli di Luni best-seller)… ou alors spritz boosté au basilic frais — instagrammable ET buvable (en vrai !). Oui mais non… oublie le prosecco lambda ici, c’est le terroir ligurien ou rien.

Escapades autour de Gênes pour prolonger le kiff

Envie de ragequit la grisaille urbaine sans débrancher ton Wi-Fi ? Oui, la vraie hype ligure commence hors-piste. À moins d’une heure du centre, tu passes de l’urban jungle à des paysages qui trollent Photoshop : villages perchés, ports pastel, spots de baignade quasi secrets (sauf pour Instagram). Spoiler alert : même les cartes postales peinent à suivre le level IRL.

Carte minimaliste illustrée des escapades autour de Gênes et villages ligures

Nervi & sa Passeggiata : art + vague + soleil

Nervi, c’est le DLC balnéaire accessible en 20 min de train local : Passeggiata Anita Garibaldi (2 km sur corniche face mer) = galerie d’art open air avec vue. Les parcs historiques (92 000 m² !) abritaient autrefois les villas de l’élite génoise. Bonus : musées modernistes Wolfsoniana ou GAM pour ceux qui veulent flex niveau culture sans transpirer.

Camogli : village de pêcheurs photogénique

Si tu cherches un village avec plus de bateaux colorés que d’influenceurs, Camogli coche toutes les cases. Port hyper vivant, ruelles serrées : ici on shoote la vraie « vibe Ligurie ». Test food : focaccia di Recco fondante en terrasse, option #BoatWatching active pendant que l’huile coule sur tes doigts (et ton objectif).

Portofino : yacht-spotting capital (oui c’est cher)

Portofino = Disneyland des milliardaires où flâner te coûte moins qu’un spritz (mais à peine). Prendre le train jusqu’à Santa Margherita Ligure (env. 35 min/3,40€), puis bus ou ferry pour atterrir direct sur la piazzetta ultra select. Budget warning sérieux : café à 8€, mais le yacht-spotting est encore gratuit… pour l’instant.

Cinque Terre en train : cheat-code paysage

Impossible d’être blasé par ce patchwork vertical classé UNESCO. Depuis Gênes, trains régionaux direction La Spezia : 1h15-1h30 selon arrêt, billet dès 5€. Sur place, pass Cinque Terre Express pour jouer au mini-hopper entre les cinq villages suspendus au-dessus de la mer – et oui, chaque panorama mérite un rechargement du cloud photos !

Tableau comparatif des escapades ligures depuis Gênes

Destination Distance/Temps Coût A/R train (€) Spécialité locale
Nervi ~8 km / 20min ~3 Parc botanique & musées
Camogli ~23 km / 25min ~4 Focaccia di Recco
Portofino ~36 km / 45min (train+bus) ~7 Café hors-de-prix/yacht-spot
Cinque Terre ~85 km / 1h15-1h30 dès 5-14 Train-hopping panoramique

FAQ express – les questions que tu Googles en cachette

Parce qu’on veut tous skypper le piège à touristes ou éviter de finir sur Reddit avec un #TravelFail, voici la F.A.Q la plus vite scrollée de la galaxie : danger réel ou fantasme Netflix, budget week-end version sac-poubelle VS mini-palace, parler italien pour commander une birra, et le fameux drame du pourboire. Aucun tabou : tu vas tout savoir (même ce que Google autocomplete n’ose pas te suggérer).

Gênes, ville dangereuse ?

Franchement ? On a vu bien pire à Marseille un soir d’OM-PSG… Les stats placent Gênes dans la moyenne européenne côté sécurité : Crime Index autour de 45, Safety Index ≈54 (source Numbeo). Le centre-ville est plutôt chill mais checke tes poches dans les caruggi (pickpockets = mini-boss locaux). Les quartiers type Begato ont une sale réputation, mais aucun intérêt touristique – donc next. Pro-tip : sac devant, téléphone rangé, et pas de balade solo minuit passé dans le vieux port. Rien de flippant.

Combien coûte un week-end sur place ?

Version backpacker spartiate : 85–120€ pour 48h (auberge + street food + métro = hack max). T’es plutôt confort geek/Instagram-addict ? Compte plutôt 180–250€ incluant hôtel sympa, restau assis et musée ou aquarium. Les musées coûtent 4 à 12 €, city-pass parfois malin. Rappel : prix A/R transport NON inclus ici. Spoiler alert: le café reste souvent moins cher qu’un ticket de tram… même en plein centre.

Faut-il parler italien ?

Disons-le cash : tu peux totalement survivre en anglais/basique français à Gênes (même si Google Trad rame parfois sur "caruggio"). Les serveurs comprennent souvent l’anglais dans les zones touristiques. Mais ose sortir un "Sciao bello" (faute assumée), "Grazie mille" (= merci beaucoup) et "Un biglietto per favore" (un ticket svp) – ça fait toujours son effet. Les Génois aiment ceux qui tentent !

Comment gérer les pourboires ?

Pas d’obligation mais la pratique s’installe doucement : arrondis l’addition ou laisse une pièce symbolique si service sympa (genre 1 € sur espresso à 2,20€, no drama). Jamais besoin de tipper comme aux States.

3 DO
- Arrondir à l’euro supérieur en restau/café.
- Laisser quelques euros quand service vraiment top.
- Pour taxi : arrondi ou mini-supplément ok.

2 DON’T
- Ne t’inquiète pas au centime près : jamais mal pris si t’oublies !
- Pas de tip automatique en self-service ou fast-food – inutile.

Gênes, la sous-cotée qui n’attend que toi

Spoiler alert : si tu penses encore que Gênes = port crado, deux heures de balade maxi et focaccia triste, tu t’es fait hacker ton flux d’infos par de faux experts. Les voyageurs vraiment curieux (ceux qui scrollent après minuit, respect) le disent : ce spot mérite bien plus qu’un détour rapide. Les palais claquent plus qu’un filtre Clarendon, chaque ascenseur urbain est un abdo-challenge, et la street-food… c’est du level-up gustatif.

« J’ai booké sur un Wi-Fi qui plantait toutes les 15 minutes – même ça c’était plus stable que l’idée reçue sur Gênes. »

Franchement ? Fonce avant que les croisiéristes ne spoilent tous les caruggi. Mon karma voyageur a rarement aussi bien buggué dans une ville aussi injustement boudée… Et mon feed Insta ? Jamais aussi pixel-perfect.

Top 10 incontournables à découvrir à Gênes : guide complet et conseils pratiques

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